Sauvé par les nymphes

Sauvé par les nymphes

La matinée avait mal commencée dans le Couserans, peu de touche, deux trois poissons piqués et autant de décrochés. Et pourtant un bon niveau et un secteur magnifique avec de belles plages qui recèlent, je le sais, de beaux spécimens. Bref, je commençais sérieusement à douter mais Michel et Patrice n’avait guère fait mieux. De deux choses l’une, soit c’était une nouvelle fois fermé, soit les appâts naturels ne leur plaisent pas. Décidé à ne pas en rester là, je change carrément de cours d’eau. Je vais insister et continuer aux appâts naturels pendant près d’une heure. Mais ce ne sera que quelques timides touches et rien de plus. Bien que septique de nature, la présence de quelques envolées d’éphémères finissent quand même par me décider à pêcher à la nymphe. Je n’ai pas encore la Native mais ma canne, une Oxygène de chez Garbolino, fera l’affaire, ayant une action parabolique assez prononcée. Je reprospecte le parcours que je viens de faire, même endroit, mêmes veines d’eau. Et là j’avoue que c’est un peu la surprise du jour, une bonne surprise. Dès la première coulée, ce sera un premier poisson, une belle de 30 +, prise en plein « jus ». S’en suivra cinq autres entre 25 et 27 en l’espace d’une heure de pêche. Je suis véritablement scotché…et pleinement satisfait. Une belle journée de pêche.

Le matin : un beau secteur mais « vide » en apparence ou presque
Une de la matinée
Une autre prise par Michel
Autre rivière, autre appât

2 réflexions sur « Sauvé par les nymphes »

  1. Joli secteur de rivière,c’est sur qu’il doit y avoir de beaux poissons. Bien vu d’avoir changer de technique ,la nymphe reste un complément parfait pour le toc,preuve en est avec ces prises,une petite question ,comment pecher vous en nymphe,avec une seule avec rajout de plomb,ou alors deux nymphes?

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