La rivière : un film documentaire sur les enjeux écologiques au pays des Gaves
« Entre Pyrénées et Atlantique coulent des rivières puissantes qu’on appelle les gaves. Les champs de maïs les assoiffent, les barrages bloquent la circulation du saumon. L’activité humaine bouleverse le cycle de l’eau et la biodiversité de la rivière. Des hommes et des femmes tendent leur regard curieux et amoureux vers ce monde fascinant fait de beauté et de désastre. »
Sortie le 22 novembre dernier en salle, le dernier film de Dominique Marchais (Le Temps des grâces, La Ligne de partage des eaux, Nul homme n’est une île) intitulé La rivière s’attache aux gaves, entre Béarn et Pays Basque.
« Pour voir la rivière aujourd’hui, il faut filmer plus large que la rivière, il faut filmer le bassin versant, le cycle de l’eau. Il faut la faire exister dans ses extensions souterraines et aériennes, les nappes et les nuages, mais aussi la chercher jusque dans le champ de maïs, la frayère à saumons, les retenues qui la bloquent. Il faut la filmer suspendue entre mémoire d’un passé fastueux et peur d’un avenir desséché. » Dominique Marchais
One thought on “La rivière : un film documentaire sur les enjeux écologiques au pays des Gaves”
L homme se détruit lui même c est bien connu ,toutes les rivières sont mise a mal .Par exemple l Agout rivière tarnaise était une des plus belle rivière française avec ses paysages de grand nord canadien se retrouve couverte de limon a cause du barrage de la ravière et des débit trop faible.je suis parti au bord du gave d Ossau pendant 15 ans et j ai vu la rivière changée ,l été le gave se couvre d algue verte a cause des nitrates ,moins de truites ,moins de saumon et le gave d aspe se faire pollué par les camions de produit chimique espagnol qui roule trop vite dans la vallée et finissent dans le gave .J en suis reparti en 2014,c est pas si vieux et je suis retourné dans le Tarn pêcher l Agout et ou que se soit ,les rivières meurent alors a part faire sauter tout les barrages le futur ne sera pas très beau