Nos rivières

Nos rivières

Nos secteurs favoris dans les Pyrénées … et ailleurs.

Principaux secteurs fréquentés dans les Pyrénées

Dans l’Ariège

L’Ariège
L’Ariège prend sa source à 2400 m d’altitude dans le cirque de Font-Nègre non loin du Pas de la Case. Après un parcours de plus de 160 km, elle rejoint la Garonne au sud de Toulouse. Son cours supérieur est torrentueux jusqu’à Tarascon-sur-Ariège où elle reçoit le Vicdessos, son plus important affluent montagnard. La basse Ariège commence après les cluses de Foix et de Saint-Jean-de-Verges. Elle est, comme toutes les rivières de haute montagne, soumise à la fonte des neiges avec un régime important au printemps. Son cours inférieur entre Foix et Pamiers recèle de véritables beautés. Le seul « hic » est d’avoir le bon niveau…

L’Ariège en aval de Pamiers
L’Ariège en aval de Foix

Le Salat
La légende raconte que le Salat serait né des larmes d’une princesse espagnole qui auraient donné naissance aux neufs sources de la rivière dans le massif du Mont Valier. Ce cour d’eau pyrénéen possède un régime presque uniquement nival. Autrefois pollué par les papeteries, la rivière fait aujourd’hui le bonheur des pêcheurs et notamment des tocqueurs. Elle est en première catégorie dans tout le département de l’Ariège avec une taille de capture à 20 cm. C’est une rivière difficile à pécher en début de saison en raison des eaux souvent hautes (fonte des neiges), mais dès le mois de juin, c’est autre chose. La partie en amont de Saint-Girons n’est peuplée que de truites avec des parcours très différents, pour tous les goûts. La partie aval, moins torrentueuse avec un cadre moins sympathique, est le repère de jolis poissons (parfois très très jolis !), mais faut en vouloir ! Présence de chevesnes, vandoises et de jolis barbeaux très actifs dès l’été.

Le Salat en aval de Saint-Lizier
Le Salat en amont de Saint-Girons après la confluence avec l’Arac
Le Salat à Saint-Sernin

Le Lez
Le Lez est le principal affluent du Salat. Il rejoint celui-ci à Saint-Girons. Né dans les Pyrénées à 2880 m d’altitude, son régime est principalement nival avec une légère composante pluviale. Les eaux sont hautes de mars à mai. A partir du mois de juin, elle peuvent être très basses. Le problème de cette rivière, au demeurant magnifique, est que son régime est très dépendant des hydrocentrales installées tout au long de son parcours avec des fluctuations parfois importantes et nombreuses sur une même journée. Pourtant, elle recèle de nombreuses truites avec parfois de beaux sujets. Un bémol, des lâchers, assez réguliers vers Moulis, Aubert…

Le Lez à Aubert
Le Lez en aval d’Aubert

L’Arac
L’Arac est une rivière ariégeoise qui prend sa source dans les Pyrénées au niveau du Pic des Trois Seigneurs. Il se jette dans le Salat en rive droite en amont de Saint-Girons, au lieu-dit Kercabanac. C’est une rivière au régime important et assez « capricieuses » pour la pêche (il en faut !). L’Arac est assez difficile d’accès.

L’Arac vers Castet d’Aleu

Le Garbet
Le Garbet est également un affluent du Salat en rive droite. Magnifique torrent de montagne ariégeois, il prend sa source dans l’étang du Garbet à 2676 m d’altitude et rejoint le Salat à Oust. La clarté de ses eaux rend sa pêche difficile surtout par temps ensoleillé. Mais le détour vaut la peine, surtout pour le plaisir des yeux. C’est une rivière en gestion exclusivement patrimoniale et les truites sont magnifiques.

Le Garbet en aval d’Ercé

L’Alet
L’Alet prend sa source dans le massif du Mont Valier. Ce torrent de montagne se jette dans le Salat au lieu-dit Pont de la Taule, en amont de Seix. Il recèle de nombreuses truites difficiles à tromper par eaux très claires. La vallée d’Ustou dans laquelle il s’écoule est tout aussi magnifique que celle du Garbet, peut-être plus encore !

L’Alet vers Bielle

La Bouigane
La Bouigane prend sa source au pic de la Calabasse et se jette dans le Lez à Audreissen. C’est une petite rivière intéressante avec parfois de belles surprises. Souvent praticable quand les autres ne le sont pas…

La Bouigane à Argein

L’Arize
L’Arize née sur le versant nord du même nom dans les Pyrénées ariègeoises. Au Mas-d’Azil, elle traverse un massif calcaire : c’est l’unique grotte en Europe qui peut être traversée en voiture. Son régime est pluvial. De nombreuses truites sauvages en amont de La Bastide-de-Sérou mais petites dans l’ensemble. Plus en aval, cette rivière peut réserver de belles surprises.

L’Arize en aval de La Bastide-de-Sérou

L’Arget
L’Arget est une petite rivière d’une vingtaine de kilomètre de longueur qui prend sa source vers 1600 m d’altitude au pic de Fontfrède et qui se jette dans l’Ariège à Foix. Sa vallée est appelée la Barguillière. Le cours d’eau à un régime pluvio-nival et son débit est assez régulier avec des étiages soutenus. Son profil est assez varié et permet toutes les techniques de pêche, notamment le toc en début de saison. Il possède une bonne population de truites, souvent de petites tailles.

L’Arget vers Serres-sur-Arget

Dans la Haute-Garonne…

L’Arbas
L’Arbas prend sa source dans le massif du même nom et se jette dans le Salat en rive gauche, à Mane. C’est un cour d’eau bien peuplé en truite dans sa partie amont mais évidemment petites. Quelques surprises possibles dans sa partie aval. Pas mal de lâchers. Poissons blancs dans la partie aval. Attention à l’Ours !

L’Arbas en amont de Mane

Le Ger
Le Ger est une rivière du Comminges qui prend sa source sur la commune de Melle et se jette dans la Garonne en aval de Pointis-Inard. Elle est soumise à la fonte des neiges mais avec peu d’amplitude. Rivière plutôt « sauvage » au-dessus d’Aspet. Bon parcours pour le toc mais encombrés. Beaucoup de lâchers en aval. Taille de capture à 20 cm sauf sur certains parcours.

Le Ger à Pointis-Inard

Le Job
Le Job est un affluent du Ger. Il prend sa source sur le versant nord du massif du Cagire. En aval d’Encausse-les-Thermes, son cours est plutôt calme. Plus en amont, il présente un caractère torrentueux. Rivière peu large, aux berges assez encombrées.

Le Job en amont d’Encausse-les-Thermes

La Garonne
La Garonne, qui se forme au Val d’Aran dans les Pyrénées espagnoles, est en première catégorie jusqu’à Saint-Martory. Son régime est très variable, d’eaux fortes à très fortes au printemps, à basses en juillet, août. En aval de Montréjeau, c’est une grande rivière qui recèle de très grosses truites. De nombreux et importants lâchers sur Saint-Béat, Saint-Gaudens…

La Garonne vers Fos
La Garonne vers Saint-Gaudens

La Pique

La Pique prend sa source à 2 300 m d’altitude, dans la forêt domaniale de Bagnères-de-Luchon. Longue de 33 km, elle se jette dans la Garonne à Cierp-Gaud. Son régime est typiquement nival mais soumis aux fluctuations de l’hydroélectricité. Son parcours est torrentueux en amont de Bagnères- de-Luchon. Elle est depuis peu en gestion patrimoniale. La taille légale de capture est de 20 cm sauf en amont de la confluence de l’One où elle est à 18 cm.

La Pique vers Cierp-Gaud

Dans les Hautes-Pyrénées

Le Gave de Pau
Le Gave de Pau est un affluent en rive gauche de l’Adour qui prend sa source au Cirque de Gavarnie. Son régime est essentiellement nival. C’est une rivière puissante, en première catégorie dans tous le département des Hautes-Pyrénées. A Saint-Pé-de-Bigorre, de bons spots pour le toc. Vers Lestelle-Betharram également, avec de magnifiques courants qui peuvent réserver de très belles surprises. Truites à la robe magnifique mais dans l’ensemble assez capricieuses. La taille légale de capture est à 23 cm de la confluence du Gave de Cauterets jusqu’aux Pyrénées Atlantiques où elle passe à 25 cm. Attention, présence de nombreux tacons…

Le Gave de Pau à Saint-Pé-de-Bigorre
Le Gave de Pau vers Lestelle-Bétharram

La Neste d’Aure
La Neste d’Aure prend naissance sur la commune d’Aragnouet et devient la Neste plus en aval, à Arreau, où elle reçoit en rive droite la Neste du Louron. C’est une très belle rivière au régime essentiellement nival avec des eaux très claires en période d’étiage. Son parcours amont, jusqu’à Saint-Lary est très torrentueux : pêche d’eaux rapides toute la saison. De très nombreuses truites mais petites à relâcher sans condition ! De Saint-Lary à Arreau, la rivière s’élargit mais son débit ne faiblit pas. Attention, l’été, canoës et rafts présents toute la journée. A partir de La Barthe-de-Neste, elle devient assez large avec de gros spécimens vers la jonction avec la Garonne. Présence de nombreux tacons dans ce secteur…

La Neste d’Aure en amont de Saint-Lary
La Neste d’Aure vers Grézian
La Neste en aval d’Arreau

La Neste du Louron
La Neste du Louron prend sa source sur les versants du massif du Batchimale. La vallée est splendide ! C’est une petite rivière torrentueuse avec une très bonne population de truites de taille moyenne. Quelques gros spécimens en aval de Bordères. Attention, parcours privé pratiquement sur toute la totalité de sa longueur (achat d’une carte supplémentaire à la journée ou à la semaine).

La Neste du Louron en amont de Bordères

L’Adour
L’Adour se forme dans la vallée de Campan en Bigorre de la réunion de l’Adour de Payolle, de l’Adour de Gripp et de l’Adour de Lesponne. Ces petits Adour sont bien peuplés en truites sauvages mais rarement grosses de même que l’Adour, de Sainte-Marie de Campan à Bagnères-de-Bigorre, qui présente un régime torrentueux. En aval de Bagnères, il s’élargit, devient plus accessible, et recèle de nombreuses truites. Attention aux tacons. Cette rivière reste intéressante jusqu’à Tarbes, voire plus en aval, mais présence de poissons blancs.

L’Adour vers Hiis

Le Gave de Gavarnie
Le Gave de Gavarnie forme le cours supérieur du Gave de Pau avant sa confluence avec le Gave de Cauterets. C’est une rivière torrentueuse au régime nival qui s’écoule dans une des plus belles vallées des Pyrénées. De très nombreuses truites mais souvent de petite taille.

Le Gave de Gavarnie

Dans les Pyrénées-Atlantiques

Le Gave d’Ossau
Le Gave d’Ossau naît de la réunion du gave de Bious et du Gave de Bousset qui prennent leur source de part et d’autre du Pic du Midi d’Ossau. Il rejoint le gave d’Aspe à Oloron-Sainte-Marie formant le gave d’Oloron. Son régime est essentiellement nival. Sa partie amont est très torrentielle. De Laruns à Arudy, la rivière devient plus accessible avec des profils variés. Les truites y sont nombreuses mais souvent petites. En aval d’Arudy, et jusqu’au bois du Bager, elle s’élargit jusqu’à une trentaine de mètres. Cette portion assez sauvage et difficile d’accès est une zone à frayère pour les saumons. De nombreux tacons sont présents mais aussi de belles truites. Attention aux usines hydroélectriques dispersées tout au long du gave avec certains tronçons présentant de fortes variations de niveaux qui peuvent surprendre !

Le Gave d’Ossau vers Laruns
Le Gave d’Ossau dans le bois du Bager

Le Gave d’Aspe
Le gave d’Aspe prend sa source en Espagne, à l’ouest du col du Somport, au pied du Mont Aspe. Il forme avec le gave d’Ossau, le gave d’Oloron à Oloron-Sainte-Marie. C’est une rivière torrentielle soumise à la fonte des neiges. Sa partie amont présente une succession de cascades jusqu’à Estaut, puis un profil moins puissant mais parsemé de gros blocs et galets jusqu’à Bédous. Elle s’écoule ensuite plus calmement dans la plaine sur quelques kilomètres et s’élargit autour d’une dizaine de mètres. En aval du barrage de Bédous, et jusqu’à Escot, elle reprend un profil torrentueux. Le secteur est magnifique avec des eaux particulièrement cristallines. La population de truites décline d’année en année mais cette portion réserve encore de belles surprises. Plus en aval, la rivière s’élargit dans la plaine. Ce secteur sert de frayères à saumons et abrite une bonne population de truites…souvent très capricieuses.

Le Gave d’Aspe vers Lurbe-Saint-Christau
Le Gave d’Aspe en amont d’Escot

Le Saison ou Gave de Mauléon
Le Saison ou Gave de Mauléon se forme à Licq-Athérey avec la confluence des gaves de Larrau et de Sainte-Engrâce, cours d’eau torrentiels qui prennent leur source en Haute-Soule aux alentours de 1200 m. Il s’écoule ensuite sur une cinquantaine de kilomètres et se jette dans le Gave d’Oloron en aval de Sauveterre-de-Béarn. C’est une rivière au régime nivo-pluvial avec des variations importantes selon la saison. Sa partie amont comprend un tronçon assez torrentueuse alternant rapides et pools jusqu’aux environs de Tardets. Elle recèle de nombreuses truites, souvent de petites tailles. Plus en aval, son cours s’élargit avec de grandes plages et des fosses profondes. Les migrateurs sont bien présents en aval de Mauléon mais saumons et truites de mer remontent également plus en amont. La taille minimale de capture varie de 18 cm à 25 cm.

Le Saison dans sa partie amont
Le Saison en aval de Tardet

Le Gave d’Oloron
Le mythique gave d’Oloron naît de la réunion du gave d’Ossau et d’Aspe au cœur même de la ville d’Oloron-Sainte-Marie. Il s’écoule sur 80 km avant de rejoindre le gave de Pau à Peyrehorade. Son régime est nivo-pluvial avec de fortes variations de débits. Large d’une quarantaine de mètres en moyenne, sa partie haute est plutôt droite avec des fonds rocheux et les courants sont nombreux. Plus en aval, la rivière laisse la place à des grands plats profonds (pools) très prisés par les pêcheurs de saumon. Le gave d’Oloron doit surtout sa renommée à la présence du saumon atlantique et d’autres migrateurs comme l’alose ou la truite de mer. La truite fario est également présente mais plutôt en gros sujets – grâce à une croissance exceptionnelle – qu’en nombre. La taille minimale de capture est d’ailleurs à 25 cm.

Mythique Gave d’Oloron

Le Lourdios
Le Lourdios ou gave de Lourdios est un affluent du Gaspe d’Aspe qui prend sa source sur la commune d’Osse-en-Aspe. En amont de Lourdios, il prend le nom de gave d’Issaux. Ce cours d’eau torrentueux est un véritable paradis pour la pêche de la truite avec une très bonne population qui réserve parfois de belles surprises. Il est souvent praticables quand les autres rivières du secteurs ne le sont pas. Attention à la présence de tacons ou tocans vers l’aval.

Le gave de Lourdios en amont d’Issor

Dans l’Aveyron

Le Tarn (les gorges)
Le Tarn prend sa source sur le mont Lozère, dans les Cévennes en Lozère. Il est soumis à un régime pluvio-nival méditerranéen et océanique avec des crues parfois extrêmes à la sortie des gorges. Les gorges traversent pour l’essentiel le département de la Lozère (non adhérente au Club halieutique) et se terminent en Aveyron au Rozier, à sa confluence avec la Jonte. La partie en aval est facilement accessible et garde son caractère torrentiel. Autrefois très bien peuplée en truite fario avec de fréquents sujets atteignant ou dépassant le kilo, le secteur reste d’un intérêt certain sur le plan halieutique, avec de surcroît un cadre grandiose. Les eaux qui alternent entre fosses profondes, lisses et courants ne sont pas toujours adaptées à la pêche au toc façon « pyrénéenne » : la longue coulée, le vairon manié ou la nymphe y sont souvent préférées. Praticable toute la journée dès le printemps et jusqu’à mi-juin, la rivière est envahie dès juin par un flot incessant d’embarcations. Il est préférable de pêcher tôt le matin et dès la fin d’après-midi.

Le Tarn à Rivière-sur-Tarn

La Dourbie
La Dourbie prend sa source dans le massif du Lingas au sud du mont Aigoual. C’est une rivière soumise aux précipitations de son bassin versant avec des eaux assez fortes de l’automne au printemps. Ses gorges se situent majoritairement dans le département de l’Aveyron. De Nant à Millau où elle rejoint le Tarn, elle traverse le massif calcaire séparant le Causse Noir et les abords du Causse du Larzac. Entre Millau et La Roque-Sainte-Marguerite, les accès ne sont pas faciles (beaucoup de propriétés privées). Rivière aux eaux cristallines, elle est très appréciée des pêcheurs à la mouche mais le toc donne de bons résultats en début de saison (éviter de pêcher l’après-midi par temps ensoleillé !). Attention au assecs l’été en amont de de Nant. Le cadre et les truites sont magnifiques…

La Dourbie à la Roque-Sainte-Marguerite
La Dourbie vers Cantobre

La Sorgues
La Sorgues (à ne pas confondre avec La Sorgue dans le Vaucluse) prend sa source dans le Causse du Larzac près de Cornus à partir d’une importante exsurgence. Elle se jette dans le Dourdou de Camarès en aval de Saint-Affrique. C’est une rivière alimentée par les précipitations qui présente des fluctuations saisonnières de débit très marquées. Les eaux sont limpides, souvent cristallines, et alternent entre rapide et calmes. Prisée des pêcheurs à la mouche, elle donne aussi de bon résultats au toc surtout en début de saison. Truites nombreuses avec parfois de beaux spécimens.

La Sorgues vers Versols

Le Dourdou de Camarés
Le Dourdou de Camarès prend sa source dans les monts de l’Espinouse (Hérault) à 1050 m d’altitude. Il se jette dans le Tarn à Broquiès après avoir reçu les eaux de la Sorgues. Dans sa partie amont, entre Fayet et Camarès, son cours est parsemé de moulins. Il prend ensuite un profil torrentueux jusqu’à Vabres-l’Abbaye. Son régime est pluvial et ses eaux qui traversent des argiles ferriques (Les Rougiers) sont souvent teintées, prenant une couleur rouge ocre lors de gros orages. Parcours assez sportif et poissonneux entre Camarès et Vabres-l’Abbaye.

Le Dourdou de Camarès à Camarès

Dans le Tarn

Le Gijou
Le Gijou prend sa source dans les monts de Lacaune et se jette en rive droite dans l’Agout près de Vabre. Large de 4 à 6 mètres, il abrite une bonne population de truites avec quelques beaux sujets. La rivière est en gestion patrimoniale et la taille légale de capture est fixée à 23 cm.

Le Gijou vers Lacaze

Le Thoré
D’une longueur d’environ 63 km, le Thoré prend sa source dans la Montagne noire et arrose la ville de Mazamet avant de se jeter dans l’Agout en Aval de Labruguière. Déclaré autrefois « rivière la plus polluée de France », au temps de la grande époque du délainage, de la mégisserie et du textile, la qualité de ce cours d’eau est aujourd’hui en nette amélioration. C’est une rivière abondante et changeante au régime peu régulier. Sa population de truite est aujourd’hui bien réelle et comprend de beaux sujets. Elle est plus particulièrement propice au « toc » en début de saison.

Le Thoré en amont de Mazamet

Dans le Puy-de-Dôme

La Couze Pavin
La Couze Pavin prend sa source au coeur du massif du Sancy vers 1580 m d’altitude et se jette dans l’Allier au niveau de la commune d’Issoire. Elle présente des fluctuations saisonnières avec une alimentation partiellement nivale. Sa partie amont, au-dessus de Saurier est assez torrentueuse. En grande partie en gestion patrimoniale, elle recèle une très bonne population de truite mais de taille plutôt modeste. La taille légale de capture est de 23 cm à partir de la confluence avec la Couze de Valbeleix.

La Couze Pavin vers Chidrac

La Couze Chambon
La Couze Chambon se forme à la jonction de deux petites couzes appelées Chaudefour et Diane, au pied du Puy de Sancy. Elle se déverse ensuite dans le Lac Chambon avant de s’enfoncer dans la vallée pour se jeter dans l’Allier au niveau de la commune de Coudes. C’est une rivière au régime partiellement nival. Elle est assez étroite et aux berges très boisées. Le potentiel piscicole semble bien en dessous de celui de la Couze Pavin. La taille légale de capture est de 20 cm.

La Couze Chambon en amont de Montaigut-le-Blanc

La Couze de Valbeleix
Principal affluent de la Couze Pavin, la Couze de Valbeleix prend sa source dans le massif du Cézallier et se déverse dans la Couze Pavin à Saurier. Une partie de son cours s’écoule dans des gorges magnifiques : les gorges de Courgoul où elle reçoit le ruisseau de Sault. Très encombrée et aux berges boisées, elle possède une bonne population de truite souvent de petite taille mais avec quelques beaux spécimens dans sa partie aval. La taille légale de capture est de 20 cm.

La Couze de Valbeleix dans les gorges de Gourgoul

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